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Comment choisir une urne funéraire ?
Avant le christianisme, la crémation était répandue dans les civilisations comme le prouvent les urnes découvertes lors de fouilles archéologiques. Dès l’âge du Bronze, l’Homme a pratiqué ce rite funéraire, à l’image des lécythes de la Grèce Antique et des romains. D’ailleurs, ces derniers sont à l’origine du columbarium qui sert encore aujourd’hui à conserver les cendres des défunts.
Préparation du défunt : Soins de conservation ou toilette mortuaire, que choisir ?
Voir une dernière fois une personne décédée dans un état paisible, comme si elle dormait, aide souvent à débuter le processus de deuil. Qu’il s’agisse d’un parent, d’un proche, ou d’un être cher, la présentation du corps du défunt est une étape symbolique, profondément humaine. Entre soins de conservation (thanatopraxie) et toilette mortuaire (ou toilette funéraire), les familles doivent souvent faire un choix difficile. Si la défunte ou le défunt n’a pas exprimé de volontés spécifiques, cette décision revient aux proches du défunt. Dans cet article, Déva vous aide à comprendre ces deux pratiques funèbres pour orienter sereinement votre choix, en lien avec la mise en bière, l’organisation des obsèques et les différents rites funéraires.
Tout savoir sur l'inhumation et la crémation
Inhumation ou crémation ? Face au décès d’un proche, vous êtes confronté à un choix intime, voire délicat. C’est d’autant plus compliqué s’il n’a pas laissé ses dernières volontés ou n’a pas souscrit de contrat d’obsèques de son vivant. C’est alors à vous qu’il incombe la décision du devenir de son corps qui sera déterminante pour la suite.
Parler de la mort pour se préparer au décès d’un proche : Rencontre avec Sophie Gidrol, palliatothérapeute
L'un de vos proches est en fin de vie ? Il vous est difficile de surmonter la perte d’un être aimé ? Ou vous avez tout simplement peur de la mort ?
Décès à l’étranger : Comment rapatrier votre proche ?
À l’heure de la mondialisation, les membres d’une même famille peuvent vivre éloignés les uns des autres, répartis dans différents pays pour le travail, les études ou les loisirs. Lorsqu’un décès survient à l’étranger, la douleur émotionnelle s’accompagne souvent de nombreuses formalités administratives, liées notamment au rapatriement du corps en France, à l’organisation des obsèques, à la gestion du lieu de décès, de la chambre funéraire ou encore à l’inhumation en cimetière.