Retrouvez nos conseils et actualités
Interviews, conseils et accompagnement : Déva vous tient informé(e)(s) des dernières actualités.
En fin de vie, certaines décisions médicales, bien que difficiles à entendre ou à comprendre, relèvent d’une profonde réflexion éthique et médicale. L’arrêt de l’hydratation artificielle, dans certaines situations de fin de vie, ne constitue pas un abandon, mais un ajustement des soins aux besoins réels du patient.
Cette pratique s’inscrit dans une démarche palliative, respectueuse de la personne malade, de sa dignité et de ses volontés. Elle est encadrée par la loi relative aux droits des malades, notamment les lois Leonetti et Claeys-Leonetti, et fait aujourd’hui l’objet de débats de bioéthique, de propositions de loi, et de réflexions sur de nouveaux droits pour mourir dans la dignité.
Au moment de réfléchir à sa dernière demeure, de nombreuses personnes se posent la question : puis-je me faire enterrer où je veux ? Si les dernières volontés du défunt sont précieuses, le droit funéraire français encadre toutefois strictement les lieux d’inhumation, de crémation, ainsi que la dispersion des cendres.
Entre le cimetière communal, le columbarium, la propriété privée ou encore un rapatriement du corps, les possibilités sont variées mais réglementées.
Dans cet article, Déva fait le point sur les options existantes pour le corps du défunt, qu’il soit destiné à l’inhumation ou à l’incinération, en fonction du lieu de décès, du lien familial, ou des volontés exprimées avant ou après la mise en bière.
Perdre un être cher est une épreuve émotionnelle qui s’accompagne de nombreuses obligations. Parmi elles, l’organisation des obsèques reste une priorité, à la fois pour rendre un dernier hommage à la personne décédée, mais aussi pour respecter un cadre légal bien précis.
Depuis 2024, la loi a évolué pour mieux s’adapter aux besoins des familles. Voici ce qu’il faut savoir sur les délais pour organiser des obsèques en France.
Lorsqu’un proche décède, la douleur du deuil s’accompagne souvent d’une série de démarches administratives complexes. Parmi celles-ci, l’une des étapes essentielles consiste à prévenir les différents organismes concernés par le décès.
Cette démarche permet d’éviter les prélèvements injustifiés, de débloquer les droits, ou encore de transférer certaines aides aux ayants droit. Mais quels sont les organismes à prévenir ? Dans quel ordre le faire ? Déva vous accompagne.
La pension de réversion représente une part de la retraite d’un défunt versée à son ou ses ayants droit, généralement le conjoint survivant. Mais qu’advient-il de ce droit en cas de remariage ? Est-il automatiquement perdu ? Peut-on cumuler pension de réversion et nouvelle union ? La réponse varie selon les régimes de retraite et les situations personnelles. Déva fait un tour d’horizon complet pour mieux comprendre.
La maladie de Parkinson représente l'une des pathologies neurodégénératives les plus répandues en France, touchant environ 200 000 personnes. Cette maladie neurologique progressive affecte principalement les neurones dopaminergiques de la substance noire du cerveau, entraînant des troubles moteurs et cognitifs qui s'aggravent avec le temps.
La maladie de Parkinson elle-même n'est pas directement mortelle. Les patients parkinsoniens décèdent principalement des complications liées à l'évolution de la pathologie : pneumonies d'inhalation, chutes, infections et dénutrition. Comprendre les signes de fin de vie, l'espérance de vie réelle et les mécanismes du stade terminal permet aux familles et aux aidants de mieux accompagner leurs proches dans cette épreuve difficile.
Cet article explore en détail l'évolution de la maladie de Parkinson, les causes réelles de décès chez les patients parkinsoniens, la durée de vie moyenne après le diagnostic et les moyens d'accompagner dignement un proche en phase terminale.
Lorsqu’une personne décède, de nombreuses démarches doivent être entreprises pour régler sa succession, y compris la gestion de ses biens matériels comme sa voiture.
Une question fréquente se pose alors : qui est habilité à vendre la voiture d’un défunt ? La réponse dépend du cadre légal de la succession et du statut des héritiers.
Déva fait un tour d’horizon des règles à connaître pour éviter les erreurs ou les blocages lors de la revente d’un véhicule appartenant à une personne décédée.
La perte d’un être cher est un moment profondément intime. Pour certaines personnes, fabriquer soi-même une urne funéraire permet non seulement d’honorer la mémoire du défunt de manière personnelle, mais aussi de s’investir dans une démarche artisanale, apaisante et symbolique. Que ce soit par souci économique, écologique ou émotionnel, créer une urne funéraire à la main est une manière touchante de rendre hommage.
La question peut sembler brutale, mais elle est pourtant essentielle à comprendre lorsqu’on parle d’inhumation en terrain concédé : que se passe-t-il une fois la concession expirée ? Qu’advient-il des cercueils, des corps, et de l’espace funéraire lui-même ? En France, le sort des cercueils en fin de concession obéit à un cadre légal précis, mais souvent méconnu du grand public.